Sigiriya
The bike in the middle of paddy fields
Dambulla

Finalement, on a presque l’impression que plus on va au Sri Lanka, plus on apprécie nos séjours.

Il faut dire que cette fois, nous avons enfin fait ce que nous aurions dû faire depuis le début : louer une moto.

Vu l’aspect plus organisé du tourisme local (par rapport à l’Inde), on se demandait si la location de la dite moto allait être compliquée, niveau garanties, permis etc… En arrivant nous avons dormi à Négombo, ville balnéaire dont le plus grand intérêt est d’être juste à quelques kilomètres de l’aéroport et où nous avions repéré un loueur. En un quart d’heure, nous nous retrouvions au guidon d’une impressionnante moto Trail (Honda Baja), haute sur pattes, nerveuse et semblant taillée pour le Paris-Dakar. Très différente de ce que nous avions l’habitude de conduire mais c’était justement l’occasion de faire une découverte.

Comme souvent, mais certainement encore plus au Sri Lanka à cause des bus-fous, il y a une énorme différence de confort de conduite entre la route principale, hyper chaotique, très fréquentée et dangereuse et les petites routes, magnifiques, calmes et pleines de surprises. Nous avions prévu d’aller vers le centre historique du pays, ce qui faisait une certaine distance à couvrir en seulement 3 jours. Certes la position de conduite sur une Trail n’est pas ce qu’il y a de plus confortable mais on s’est émerveillé de l’efficacité de ses suspensions sur les pistes et routes défoncées. C’est aussi grâce à ces itinéraires bis que nous avons pu voir défiler des paysages splendides, se perdre au milieu des rizières, s’arrêter pour contempler une scène de vie, découvrir de magnifiques vues au détour d’un virage, pique niquer traquillement… Bref, on ne se refait pas, mais il semble que pour nous, le voyage à moto change tout…

Nous avons aussi découvert un passé cuturel magnifique. Gros gros coup de coeur pour Sigiriya, véritable ville-rocher qui surplombe tous les alentours. Nous avons fait l’ouverture à 7h du matin donc nous avons pu profiter de la belle lumière de l’aube, de la faible fréquentation du lieu à cette heure-ci et apprécier tant le site naturel exceptionnel que les restes historiques. Sur le chemin, nous nous étions arrêté aux caves de Dambulla qui renferment de très belles peintures bouddhistes. Par contre, petite déception à Polannaruwa, site très étendu avec des restes un peu moins faciles à appréhender au final et surtout très mal entretenue par rapport à la moyenne du pays. Les petites routes aux alentours et notamment celle longeant son lac étaient par contre exceptionnelles !

Changeant de situation niveau visa cet été, c’était notre dernier voyage “obligatoire” au Sri Lanka. Nous avons mis du temps à trouver ce qui pouvait nous plaire dans ce pays, mais nous avons maintenant l’impression que nos escapades au Sri Lanka vont nous manquer… Il y a fort à parier qu’il y aura un Sri Lanka #6 dans quelques mois…

Galle remparts and sea
Monks on the remparts, Galle
Cricket in front of the High Court in Galle
Mirissa Beach with surfer

Le Sri Lanka et nous, c’est une histoire qui dure mais c’est encore loin d’être une histoire d’amour… Après trois premières incursions sur cette île si proche de l’Inde nous n’avions pas encore trouvé vraiment de raisons d’y retourner à part notre visa business nous forçant à sortir du territoire Indien régulièrement.
On avait gardé le Sud en “réserve”, pour quand ce serait la bonne saison. Cette fois est finalement arrivée le mois dernier. Après avoir exploré la région de Trincomalee, le centre avec Kandy et la ville historique d’Anuradhapura, on a arrêté de tergiverser : direction Galle, la ville coloniale célébrée par tous les guides et touristes puis les plages réputées paradisiaques de la côte d’Unawatuna à Mirissa.
Et il est vrai que Galle est magnifique et très bien conservée. Réveil avec vue sur les remparts, lumière éclatante, mer bleu transaparente et héritage colonial (souvent déjà bien restauré) à tous les coins de rues. Un paradis pour bobo en “reconversion” : beaucoup de shops, guest-houses ou hôtels sont tenus par des occidentaux. On a l’impression d’arriver un peu après tout le monde mais la péninsule historique coloniale de Galle a un charme fou qui saute aux yeux instantanément.
Après avoir trouvé un scooter, nous partions à la découverte des plages de la côte Sud sans but précis et avec la vague idée d’essayer de surfer vu que le coin est réputé pour ça (malgré notre statut de débutant). A Unawatuna on a trouvé une jolie plage un peu surchargée de touristes “à transats” mais le bleu de la mer était assez convaincant. A Mirissa on a trouvé un bon mix de bungalows, restos, plage avec ou sans vagues. A Talalla, qu’on nous avait vivement conseillé, on n’a rien trouvé, à part une plage presque déserte et on s’est dit que c’était vraiment trop vide pour nous.
Entre les plages on a pris de sérieux coups de soleil à scooter, vu les fameux pêcheurs sur piquet (parfois honteusement mis en scène pour les touristes !) et compris que le coin était en train de se développer dangeuresement vers le tourisme de masse…
Et est-ce qu’on a surfé dans tout ça ? OUI ! et c’était très sympa, notamment sur la plage de Weligama, parfaite pour les débutants.
Bref, ce coin du Sri Lanka a de sérieux atouts. Même si c’est un peu “bateau” de dire ça, on vous conseille quand même de vous dépêcher de les découvrir avant l’invasion du tourisme de masse de Chine et Russie, de plus en plus imminente.

by in Slideshow, Sri Lanka




Pour notre troisième voyage au Sri Lanka de l’année, nous sommes partis avec un groupe d’amis dans l’idée de tester le kite-surf à Kalpitiya , un spot a priori réputé à 140 kilomètres au nord de Colombo.
Nous avons commencé le w-e en loupant notre avion à cause d’un trafic démentiel à Bangalore, la veille du w-e de Diwali (attention d’ailleurs, il y a de nouvelles régulations en Inde et personne ne peut s’enregistrer en arrivant moins d’une heure avant le départ d’un vol international – 45 min pour un vol national).
Pour bien continuer sur notre lancée, nous étions si bien renseignés que nous sommes tombés juste pendant les deux mois non propices au kite-surf dans la région. Résultat, des hôtels déserts ou fermés et de la pluie à partir de 14h. On avait tout de même un plan B et on en a donc profité pour pousser un peu plus au nord, jusqu’à Anurâdhapura, l’une des anciennes capitales historique du Sri Lanka, où l’on a pu admirer, le temps d’une matinée, de belles “stupas” ou “dagobas” boudhistes vieilles, pour certaines de plusieurs millénaires, entourés de pèlerins tout de blanc vêtus.

Pour parler plus du Sri Lanka en général, c’est vrai que l’on continue à avoir du mal à s’enthousiasmer pour ce pays. Attention, replaçons les choses dans leur contexte, nous venons d’un pays assez proche (on ne resent pas du tout de choc culturel en arrivant), nous y allons souvent à cause de notre business visa et pour des périodes assez courtes – qui ne nous permettent peut-être pas d’aller dans les endoits plus difficiles d’accès mais plus sympas du pays.
Mais tout de même ! Déjà, le tourisme n’est pas le même qu’en Inde et ne correspond pas aux mêmes voyageurs. Tout y est plus cher, on a l’impression que l’on essaie de nous arnaquer en permanence. C’est aussi dû au fait que l’on ne prend pas assez le temps et que l’on n’utilise donc pas assez les transports locaux (bus, train). On tombe donc dans un schéma taxi-chauffeur qui ne nous correspond pas (même si on adore leurs vieux vans Japonais). C’est aussi un pays pour lequel l’activité touristique est très importante et ça se sent un peu trop. Le problème n’est pas la surabondance de touristes mais plutôt le sentiment de se sentir un peu trop attendus, ce qui engendre souvent des échanges avec les Sri Lankais qui semblent un peu biaisés.
Et puis, attention, on va faire nos franchouillards, mais on continue d’avoir de grosses déceptions sur la gastronomie locale. A part leur fameux “rice and curry” (qui est une sorte de thali), les espèces de samossas et autres gâteaux fourrés de boulangerie (qui sont quand même assez ennuyants), on n’arrive pas à trouver de bonnes spécialités locales.

Bref, on ne va pas en rester là et nous allons, de toutes façons, retourner au Sri Lanka, donc on ne désespère pas de changer d’avis !

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